Jayden Constantine
Informations
Salut à toi, je m'appelle Jayden Constantine mais tout le monde me surnomme Jay et je suis né(e) le 1e mai 1977 , à Cardiff au Pays de Galles. Si tu sais compter j'ai donc 37 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que exorciste / consultante en phénomènes paranormaux. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis hétérosexuelle et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis Exorciste. Pour terminer ma principale phobie est les clowns
Pouvoirs
♪ Pouvoir Elémentaire Pyrokinésie
♪ Pouvoir Psychique Médium
♪ Pouvoirs communs Télékinésie
♪ Pouvoir de Race Spéciale Exorcisme, magie démoniaque.
Questions indispensables
Caractère
Le talent rime avec la jalousie. Certains disent que je suis arrogante, je rétorque simplement que je connais mes capacités, mes limites et que je sais à quoi m’en tenir côté exorcisme. D’ailleurs mes connaissances sont fort utiles dans ma quête. J’admets être quelque peu revancharde, je n’aime pas perdre, ni avouer ma défaite. Mauvaise foi ? Peut-être bien un peu. Si j’occulte ma croisade, je suis une personne aimant la vie et je sais en apprécier les moments agréables. Oui, je peux sourire même si j’ai souvent un air sérieux sur le visage. En fait je me dévoile dans l’intimité, mais étant de nature sensible et nostalgique, je préfère garder ma carapace protectrice. Mon père me manque ainsi que la vie que je menais avant l’arrivée de mon cousin. Au début j’aimais bien l’idée d’avoir un petit frère mais j’ai déchanté au fil des années et de ses bêtises. Dorénavant, je l’ai rayé de ma vie. Mais n’allez pas croire que je rejette tout lien affectif, au contraire je me montre assez protectrice envers les personnes auxquelles je tiens.
Biographie
Londres, 2000
- Docteur, mon cousin est fou à lier, il faut l’interner, il est dangereux autant pour lui-même que pour les autres. Il a tout de même causé la mort de mon père.
J’assenai ces mots avec force pour convaincre le Docteur Mayer que l’internement d’Edward était justifié et nécessaire. Mon cousin n’avait causé que du tort à ma famille depuis son arrivée et j’étais décidée à mettre fin à cela. Bien entendu, j’essayai de présenter la situation pour persuader mon interlocuteur et le fait de mentionner la mort de mon père raviva ma tristesse. Ma mâchoire se contracta. L’imbécile, Edward n’était qu’un imbécile et la fureur et ma peine me rendaient capable de le tuer sur place. Cependant, je la réservai au démon qui avait dérobé l’âme de mon père. Lui, je lui ferai regretter de s’en être pris aux Constantine et de ne pas être resté dans son Enfer. D’ailleurs, si mon cousin pouvait être emporté par ses invocations j’en serai fortement réjouie. A trop jouer avec le feu, on perd ses plumes.
Mon père nous avait enseigné tout ce qu’il savait sur nos pouvoirs, ainsi que ses techniques de combat, et il m’avait toujours dit de me montrer prudente avec mes adversaires. Notre apprentissage débuta dès nos plus jeunes années, Edward se montrait doué ce qui m’incitait à vouloir le surpasser. Une sorte d’émulsion entre enfants. Si seulement il avait su tenir sa langue, pourquoi a-t-il fallu qu’il veuille impressionner la voisine ? A cause de lui, nous avions dû quitter Cardiff pour Londres, alors que j’appréciai ma ville natale. Je lui en ai voulu pendant des semaines. Et le fait qu’il se montrait plutôt solitaire me convenait, même si au tout début j’étais contente d’avoir un petit frère. Nous devions nous montrer discrets et j’avais l’impression qu’Edward ne manquait pas une occasion de se faire remarquer. Et par son imprudence et son incompétence, mon père y avait laissé la vie.
- Et puis, croire que les démons existent, franchement, il se coupe de la réalité et s’enferme dans un monde complètement loufoque. Il croit pouvoir les invoquer pour les exorciser. Pour moi, ce n’est pas l’attitude d’un homme sain d’esprit.
Je mentais avec aplomb. Je côtoyais le monde des démons tous les jours. Dans ma quête pour trouver celui qui avait tué mon père, j’exorcisais ceux que je croisais après qu’ils m’aient donné les informations que je cherchais. Combiner la magie des sorts à celle des cercles d’invocation était un bon moyen pour leur soutirer des renseignements, tant que je ne surestimais pas mes compétences. Voilà pourquoi je m’entrainais quotidiennement, je continuais d’étudier les livres de magie, accumulant les sorts que je testais sur mes prisonniers. Et une fois mon cousin aux bons soins du Docteur Mayer, je pourrai me concentrer pleinement. Peu importait la durée de sa détention, je m’acquitterai des factures, ce n’était pas un souci.
Londres, 2004
- Dris, Arh’t Zeneb Compay Ryst
Le cercle d’invocation s’étalait devant mes yeux, tracé à la craie. Mon père m’avait appris à les dessiner précisément pour éviter toute faille dans les entraves que je tissais pour retenir les créatures invoquées. La craie n’était pas l’unique moyen de tracer ces cercles, le sang pouvait renforcer leurs actions. Si celui que j’appelai répondait correctement à mes questions, je le libérerai. Je traquais les démons, pas les créatures dont regorgeait ce monde. Peu d’humains avaient conscience des créatures qui les entouraient à chaque instant de leur vie. La magie des sorts était puissante pour ceux qui en comprenaient les subtilités et le langage utilisé par les exorcistes compréhensibles seulement d’eux ou de rares érudits. Quant à l’exorcisme, c’était tout aussi éprouvant surtout quand le démon emprisonné résistait. Parfois, il fallait leur courir après, heureusement que j’entretenais mas condition physique et que la pyrokinésie était là pour m’aider à leur barrer le chemin voire à les griller sur place.
Un apprentissage de longue haleine que je mettais en pratique assez souvent dans ma quête de vengeance. Celle-ci se révélait difficile car je n’avais pas connaissance de l’identité du démon invoqué par mon cousin et je n’avais aucune envie de lui demander vu l’état de nos relations. Inexistantes. D’ailleurs je ne le considérais plus comme appartenant à notre famille, il était mort à mes yeux. Je fus tirée de mes pensées par l’apparition qui trônait au milieu du cercle. La créature n’était pas très contente d’être invoquée de la sorte, mais je m’en accommodai et entrepris d’obtenir les réponses que je cherchais avant de la renvoyer. Depuis que j’avais commencé mes recherches, j’usai d’une fausse identité pour ne pas éveiller les soupçons, même si les exorcistes ne couraient pas les rues. Les Constantine n’avaient pas le monopole.
Paris, 2014
Je venais de récupérer les clefs de ma chambre d’hôtel et prenais possession des lieux. Je m’étais octroyée le plaisir d’une réservation dans un trois étoiles. Autant avoir un peu de confort, mon boulot pouvait être lucratif quand je tombais sur une affaire intéressante. La piste de mon démon m’avait conduite dans la capitale française, la ville romantique par excellence. Je lâchai un soupir, désabusée. Ma vie sentimentale n’était qu’une succession de passades, et même si j’avais tendance à m’engager dans mes relations, quelque chose venait toujours les perturber. Certainement ma quête de vengeance et ma fréquentation du monde démoniaque. Je longeai ma main dans mon chemisier pour en sortir le médaillon dont je ne me séparais jamais. De facture ancienne, ce bijou me servait à enfermer certains démons, ceux que je pouvais contraindre. Et le dernier en date était Ascaroth, un des sbires de Nergal. Il me servait bien dans mon entreprise et même s’il cherchait à me faire plier quand je l’invoquais, je parvenais à résister à son charme. D’ailleurs, je devais me montrer méfiante car il s’était montré coriace lors de son enfermement. Heureusement, j’avais tissé un réseau de sortilèges autour du médaillon pour empêcher mon prisonnier de se libérer sans mon consentement. Bon, il n’était pas franchement content de sa condition mais je comptais le renvoyer en Enfer une fois mon démon trouvé.
Mes affaires rangées, je décidai de prendre une douche pour me délasser du voyage. Un nom m’avait été donné, un contact dans cette ville ainsi qu’un lieu, l’Institut. Ce dont j’avais besoin c’était de m’habituer à Paris, me familiariser avec les lieux intéressants et m’immiscer dans le réseau démoniaque. Et comme je n’aimais guère perdre mon temps, j’entrepris la visite de la capitale dans la soirée. J’avais entendu parler des catacombes mais les faes n’étaient pas mon domaine à proprement parler. J’étais une exorciste néanmoins je pouvais donner quelques conseils sur le monde de l’occulte. Une nouvelle étape dans ma vie commençait dans ce pays.
De l'autre coté de l'écran
♪ Pseudo/prénom Jay et compagnie
♪ âge Combien me donneriez-vous ?
♪ Présence 7/7 à travers tous mes comptes
♪ tu nous as trouvés comment ? Je suis un meuble
♪ Une dose d'amour ?
♪ Groupe Choisi Sorcier
♪ Avatar Angelica Celaya
©louha