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Institut Chevalier
Forum RPG basé sur une école de magie en plein coeur de Paris. Entre attaques de démons et suspicions des mortels, le monde semble êre au bord du gouffre, et l'Institut le dernier rempart contre la fin du monde... Mais, est ce que ce sera suffisant ?
Sujet: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Dim 1 Nov - 22:03
Ma dernière aventure en compagnie de John s'était tenue dans un asile abandonné et fort étrange. Et depuis lors, j'avais de nombreuses questions sur ce que j'avais vu. Plusieurs jours s'étaient écoulés, j'avais ressassé cet épisode sous tous les angles jusqu'à me décider à contacter John pour lui fixer un rendez-vous au Bar et vous. Je devais éclaircir certains points alors autant demander directement à l'intéressé.
Jean noir, bottines marrons et veste en cuir vu les températures. Bien entendu, une fois à l'intérieur de l'établissement j'ôtai cette dernière pour dévoiler un haut bleu marine. Voyant que mon acolyte n'était pas encore arrivé, je pris place au bar et commandai une bière. Tandis que je sirotai mon verre, mes pensées repartirent vers l'asile et ce qu'il s'y était déroulé. Surtout cette dernière pièce avant que John ne fasse appel à une magie qui m'était bien connue pour nous créer une issue de secours.
Je jouais avec mon verre quand une présence prit place à mes côtés. Tournant la tête vers lui, je souris à John avant de le saluer.
- Comment vas-tu depuis la dernière fois ? Je ne voulais pas l'agresser de suite avec mes questions, cependant je ne les perdais pas de vue. Je t'offre un verre ?
Je pouvais tout de même lui offrir quelque chose. Je passais distraitement une main dans mes cheveux pour renvoyer les boucles dans mon dos. J'attendis qu'il soit servi avant de commencer mon interrogatoire.
- Pour un psy tu as des dons particuliers... Voilà, première accroche. Plutôt étonnantes comme capacités dont tu as fait preuve dans l'asile. D'où te viennent ces atouts ?
J'avais l'air détaché pourtant je ne manquerai aucune parole de mon interlocuteur. Il fallait que j'éclaircisse la situation.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Sam 7 Nov - 22:08
Une soirée dans un asile, et cette femme recommence à ne plus quitter mes pensées. J’ignore quelle magie elle maitrise, mais depuis que je l’ai rencontrée, je ne suis pas sûr d’arriver à l’oublier. Ça ne m’était pas arrivé depuis mon amour d’enfance, cette demoiselle qui a hanté mes pensées durant mes années d’asile psychiatrique. La petite amie que j’avais le jour où j’ai joué avec trop puissant que moi, et où j’ai perdu mon oncle à cause de ma témérité. Un sourire narquois monte sur mes lèvres à cette pensée. Je ne dois pas repenser à ça. Je dois avancer et faire en sorte de réparer mes conneries d’enfant.
Alors que je repense à notre soirée dans un asile, à la chaleur de ses bras et à la façon dont je nous en ai sortis, je suis légèrement inquiet. J’espère que la demoiselle ne va pas poser trop de questions, car je ne suis pas tout à fait certain de savoir y répondre. Néanmoins, je ne prépare pas de mensonge d’avance, non. Je préfère attendre le dernier moment et improviser. De toute façon, dans les moments de stress, je ne me rappelle jamais des mensonges préparés.
Un SMS de ma belle me propose un rendez-vous dans le bar et vous, endroit où nous nous rendons régulièrement pour flirter depuis un an. J’espère que ce qu’il s’est passé entre nous deux ne va pas refroidir ses ardeurs, car j’espère bien pouvoir goûter à nouveau à la douceur de ses bras. Mes souvenirs de cette partie de la soirée sont entachés d’une sorte de voile qui m’empêche réellement de me rappeler de chaque détail. Si j’avais été plus méfiant que ce que je suis aujourd’hui, j’aurais dis que quelqu’un s’était amusé à me modifier la mémoire. En fait, avec n’importe quelle autre fille j’aurais pensé cela. Mais, pour l’heure, je crois que j’aimerais que tout ça soit réel.
Je ne prends pas la peine de me changer. De toute façon, à part un autre jean pas forcément super propre, et une autre chemise que je porterais attachée à l’as de pique, je n’ai rien. Mon pardessus beige sur les épaules, et je me rends rapidement au bar depuis l’Institut. L’avantage à vivre ici, c’est que je suis proche de tout. Une fois sur place, je salue le barman d’un geste de la main et me dirige vers Shaelyn. Bonsoir. J’hésite une seconde et dépose un baiser sur sa joue avant de me laisser tomber en face d’elle. La galanterie voudrait que ce soit moi qui paye. Je ne la laisse que pu souvent payer. J’aime bien me montrer prévenant avec elle, je n’ai toujours pas compris pourquoi.
Une fois un demi entre les mains, je m’adosse un peu mieux à mon fauteuil et en bois une gorgée. Bien évidemment, la discussion tourne tout de suite sur mes pouvoirs. Vais-je lui dire la vérité ou bien lui mentir ? Je l’observe durant de longues secondes droit dans les yeux avant de porter la bière ambrée à mes lèvres pour en boire une gorgée. Voilà une question intéressante. Je me permettrais de répondre par une autre question. Préfère tu ne pas savoir ou bien obtenir un mensonge ? Je croise les bras tout en l’observant. Je laisse le silence entre nous s’épaissir durant une dizaine de secondes avant de reprendre. Ce n’est pas une question à laquelle j’ai l’habitude de répondre. Mes pouvoirs sont… différents. Différents de ceux des gens que tu peux croiser dans notre monde. Ils ne sont ni démoniaque, ni fey, ni venant des Aspects. Je suis autre chose, et tout ça à la fois. Certains sont de naissance, d’autres proviennent d’échanges au cours des années. Le bien, le mal… La seule constante est ce que je décide d’en faire au quotidien.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Sam 5 Déc - 15:07
Étrange façon de me répondre. Ne rien savoir ou bien un mensonge ? Je haussai un sourcil, perplexe. Je souhaitais avoir des réponses à mes questions, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il m'annonce de but en blanc vouloir me mentir. En soit, je ne pouvais réellement juger de la véracité de ses propos, bien que la démonstration de magie de l'autre soir me laissait l'impression d'un usage démoniaque semblable à mes propres capacités.
- Je préfère la vérité... Les mensonges apportent généralement que des ennuis.
Telle était ma vision des choses. En tout cas, j'écoutai les explication qu'il daigna me donner. Singulière manière de présenter ses pouvoirs. Moi qui croyait avoir potentiellement rencontré un autre exorciste, je doutais maintenant.
- Des échanges ? Quel genre d'échanges ? demandai-je intriguée. Je savais que ma famille avait autrefois pactisé avec des démons pour obtenir certains pouvoirs. Etait-ce le cas pour John ? On peut dire que tu profites des deux camps pour résumer ?
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, je pensais obtenir des réponses claires mais j'avais l'impression que le mystère s'épaississait autour de mon interlocuteur. Je pris une gorgée pour réfléchir et décidai de changer de sujet.
- As-tu une idée de l'ennemi qui nous a emprisonné dans l'asile ?
Il était plus au fait des ennemis présents en France même si je m'étais familiarisée avec la faune locale depuis mon arrivée.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Lun 14 Déc - 22:34
La vérité. Intéressant. Pour la vérité, mademoiselle, il va falloir faire vos preuves. Je n’en dis rien, cependant. Mon identité réelle doit rester un secret : les Constantines ne sont aujourd’hui que très peu. Jusqu’à preuve du contraire il n’y a plus que ma cousine et moi. Et, nous hisser en tête de la liste des personnes les plus recherchées par les démons n’est pas réellement la meilleure idée du monde. Nous pouvons tenir tête à pas mal de magie démoniaque, et ces échanges que j’ai faits au cour des années m’ont permis d’accroitre encore ma puissance. Alors, pour la vérité entière et toute fraiche, il faudra m’apprivoiser un peu plus que cela, ma chère. Je croise les bras sur ma poitrine et lui tire un sourire charmeur. Je ne changerais pas d’avis, ça c’est sûr.
Après quelques explications rapides, je prends une gorgée de bière. Un sourire monte sur mes lèvres et je hoche la tête de haut en bas. La magie n’est pas « bonne » ou « mauvaise », elle est ce qu’on en fait. En conservant un certain équilibre en soi, on peut choisir ce qu’on en fait et jusqu’où on va. Je souris et fais tourner le verre entre mes doigts. Je profite de ce qui peut m’aider à combattre les démons et qui reste dans la ligne de conduite que je me suis donnée.
Sa question sur l’asile me laisse pensif. L’asile appartient à des créatures dont je ne connais pas le nom. J’ai déjà eu affaire à eux une fois, il y a longtemps. Ce sont des êtres humanoïdes avec une tête de poulpe, et les tentacules qui servent plus ou moins de bras, censeurs et autres appendices. Ils aiment kidnapper des sorciers ou des humains et les laisser face à un danger, voir parfois leur faire des expériences. Peu en sortent vivants. En gros, nous avons eu de la chance. Aylee, la responsable des Chasseurs est ressortie enceinte. Cependant, quelque chose dans sa nature profonde a provoqué une fausse couche. Les enfants qui naissent de ces grossesses sont souvent démoniaques, difformes ou avec des pouvoirs inconnus. Peu survivent durant leur première année, car ils se consument eux-mêmes. Je fais une nouvelle pause et hausse les épaules. J’ai effectué quelques recherches à la bibliothèque de l’Institut. Visiblement, nous nous en sommes sortis très facilement. Et, le souvenir de ses bras accueillants me tire un sourire. Par ailleurs, je trouve que nous avons passé un moment plutôt agréable…
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Dim 17 Jan - 20:16
L'apprivoiser ? Vraiment ? Je répondis à son sourire charmeur par un sourire en coin, comme pour relever le défi. Un homme qui entretient le mystère pouvait être une proie alléchante pour une curieuse, mais également une source d'ennui suivant ce qu'il cache. Me frotter au psy n'était pas une idée désagréable. En tout cas les explications qu'il me donna étaient logiques. La magie était neutre et c'était son usage qui lui donnait sa couleur. Cependant, certains pouvoirs étaient tout de même plus fréquents d'un côté que de l'autre. Après je ne pouvais nier que tout pouvoir était bon à prendre, surtout quand on avait affaire aux démons.
- Et quelle ligne de conduite t'es-tu fixée ?
Déjà qu'il avait l'air d'un psy déjanté, je me demandais si son code de conduite l'était autant. Puis j'essayais de m'imaginer les êtres qui peuplaient l'asile. Des poulpes faisant des expériences ? Je haussai un sourcil, ayant l'impression d'entendre parler d'extraterrestres et de leur soit-disant kidnapping. Cependant, je croyais plus facilement l'histoire de créatures magiques que d'êtres venus d'une autre planète. Enceinte ? Un frisson parcourut mon corps, j'espérais que ce type d'expérience n'avait pas été tentée sur nous. Au moins le fait que ces enfants ne survivent pas me rassurait, j'avais déjà bien assez des démons alors de leur progéniture... Puis je coulai un regard en coin suite à ses dernières remarques.
- C'était peut-être notre jour de chance. Je laissai planer quelques secondes de silence avant de poursuivre. Oui, c'est vrai que ce ne fut pas déplaisant même si je ne me rappelle plus comment nous en sommes arriver à cette situation. Un brouillard persistait sur certains faits de cette soirée. Un sourire aguicheur plana quelques instants sur mes lèvres avant que je ne pose une nouvelle interrogation. Et il n'a jamais été question de nettoyer les lieux ?
Quoique un asile abandonné ne devait pas intéresser grand monde.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Sam 30 Jan - 20:11
Ah, le voilà, le moment où on parle de ma ligne de conduite. J’hausse un sourcil amusé. Mon code de conduite est, pour l’heure, d’emmerder le plus possible les démons qui viennent se mettre sur mon chemin. On ne peut pas être plus clair, je pense. Je me laisse aller en arrière et laisse échapper un léger soupir. Oui, emmerder les démons c’est une bonne chose. Réellement une bonne chose. J’adore emmerder les démons. Et surtout… et surtout les étudiants. Ils sont amusants, ceux là.
La conversation bouge sur un autre sujet : celui de l’asile. J’explique à la demoiselle ce que j’en sais, c’est-à-dire pas grand-chose. Ce que toutes les personnes qui vivent ici, à Paris, ont entendu dire à ce sujet, en fait. Je ne crois pas qu’il y ait de chance avec ces créatures… Après tout, je n’ai aucune idée du temps que j’ai passé endormi, avant de me réveiller dans les bras de la jeune femme. Le temps là bas est tout simplement différent. Ils ont du nous faire quelque chose. C’est obligé. J’espère qu’il n’y a pas eu trop de casse, pour le coup. Nettoyer les lieux… ça a été tenté, je crois. Il faudrait que tu ailles voir un Chasseur pour en savoir plus là-dessus. Je ne m’y suis pas réellement intéressé plus que ça : ce ne sont pas mes ennemis tant qu’ils ne touchent pas à ceux qui comptent pour moi. Ma cible, ce sont les démons, et là… Ce sont des aliens ou des fey, qui sait ? Une partie des fey sont même des aliens, il parait. Les Sidhe, la race « royale » des fey de Paris sont, parait-il, issus d’une autre planète. Je connais quelques Chasseurs, si tu veux aller leur rendre visite. Sinon, il y a Clara, la pythie de l’Institut. Elle sait à peu près tout ce qu’il y a à savoir sur ce monde et cet endroit, elle l’a vu évoluer depuis… la création de l’Institut, je crois.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Dim 20 Mar - 17:17
Emmerder le plus possible les démons, une formulation qui m'arracha un rire joyeux, renforcé par les images qui traversaient mon esprit en pensant au psy affrontant des démons. pourtant une ombre traversa mon regard en rependant à mes propres expériences démoniaques. Pensées que je reléguai rapidement au fond de mon esprit. Tant que son code de conduite me semblait correct, je ne voyais rien à redire.
La notion d'ennemis était très subjective et parfois ne tenait qu'à un cheveu. La haine pouvait faire basculer une relation aussi surement que l'amour. Mais il était également possible de n'éprouver aucune haine envers ses ennemis, ils l'étaient de facto. Tout simplement. Et parfois l'amour se mêlait à la haine... A cette mention, le souvenir de mon cousin me traversa l'esprit. J'aimais mon cousin, jusqu'à ce qu'il provoque la mort de mon père, du moins la capture de son âme par un démon. Je laissais le passé pour me concentrer sur le présent et mon interlocuteur.
- Rencontrer un Chasseur ? Pourquoi pas. J'ai entendu parler d'eux sans vraiment avoir eu l'occasion de les voir en dehors d'une mission. Ils ont un QG dans le coin je crois non ?
Les informations de ce type circulait rapidement dans le monde magique, il était toujours utile de savoir où se trouvaient les Chasseurs et leurs ennemis. Quant à la Pythie... Je ne savais même pas qu'elle était en France, mais rien que de penser à ce personnage mythique et à son savoir j'en avais le vertige. Un sourire flottait sur mes lèvres à cette perspective. Je pivotai pour faire face à Constantine et vu que j'avais les jambes croisées, je heurtai sa jambe au passage.
- Désolée, dis-je avec une grimace. Tu crois que je pourrais me rendre à l'Institut pour rencontrer cette Clara ? Je trouvais que le nom ne collait pas à l'image du personnage, mais dans notre monde, les pseudonymes étaient très utiles. Et puis je pourrais voir ton lieu de travail, ajoutai-je avec un sourire espiègle et sur un ton taquin.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Dim 27 Mar - 17:35
Ils ont un QG juste en face de l’Institut, oui. Je souris à la demoiselle qui me fait face avant de hausser les épaules. Soumit exactement au même sort que l’Institut d’ailleurs. J’aimerais bien être aussi doué en illusions… Mais, je n’ai que quelques sorts de base là dedans. Les fées n’ont jamais voulu trader leurs secrets. Il faudra que je réessaie un de ces quatre. Un sourire grimpe à mes lèvres lorsqu’elle me frôle et je ne répond rien à cette excuse. Il n’y a pas réellement de choses à dire. Cela ne me dérange pas. Avec cette fille, j’ai l’impression de perdre un peu mes moyens.
Mon sourire se fige à l’idée qu’elle voie mon lieu de travail. J’ouvre la bouche. La referme. Tout le monde m’appelle Constantine là bas. C’est même noté sur mon bureau. Comment garder mon identité secrète vis-à-vis de cette femme si… Non, ce n’est pas possible. Elle ne peut pas… Oh merde, je vais avoir tellement de choses à changer avant qu’elle ne vienne. Je peux t’arranger ça si tu veux. Je crois que Clara est en Italie en ce moment. Un truc à voir avec Merlin l’enchanteur je crois. Pieu mensonge. Mais, je vais devoir préparer mon entourage. Pitié que personne ne m’appelle Constantine là bas… Ce serait une catastrophe. Une vraie. J'allais devoir tout préparer. Tout détailler. Minuter sa visite. Ou lui dire la vérité. Pitié non. Pour une fois que je trouve une femme sympathique, je suis presque sûr qu'elle va s'enfuir en courant en apprenant ce que je suis.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Mar 29 Mar - 22:15
Des illusions, je comprenais mieux. Je souris quand il déclara vouloir frayer avec ce domaine magique. Ce n était pas aussi simple à mettre en œuvre et cette compétence était souvent liée aux faés, aux Light faé ;Pas forcément des plus recommandables.
- Et bien je pourrai constater cela un de ces jours.
Puis je baissais la tête avec une petite moue. Ainsi la Pythie était en voyage. Tant pus, j'allai devoir patienter avec de rencontrer cette figure mythique. Merlin l'Enchanteur ? Je reportai mon attention sur John. J'avais parfois du mal à me représenter ces personnages importants de la communauté magique, me demandant s'ils étaient conformes aux histoires qui circulaient à leur sujet ou non.
- Tu m'arranges une rencontre à son retour ? Je lui adressai un sourire avant de terminer mon verre. JE considérai en avoir assez entendu pour aujourd'hui. On garde contact ? Il était temps de prendre congé.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre Mar 29 Mar - 23:52
Je t’enverrais un message, oui. Etais-je déçu de voir la discussion se terminer aussi vite ? Un peu. Mais pour le coup, j’ai besoin de préparer les lieux. De faire en sorte que Jayden ne découvre pas qui je suis. Et, je vais devoir arracher la plaque devant mon bureau. Ruby y a fait mettre mon nom complet, juste à côté de ma fonction. Pourquoi est ce que je n’ai pas menti sur mon métier, hein ? J’ai bien menti sur mon nom et la totalité de mon identité … J’aurais pu…Du trouver autre chose.
Je me lève donc, et attrape son menton pour déposer un baiser sur les lèvres de la demoiselle qui me fait face. Je te revois rapidement.
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Sujet: Re: Il faut qu'on parle (Constantine) - 27 octobre