Salut à toi, je m'appelle Neithan Cooper, du moins c’est le nom que je porte aujourd’hui mais tout le monde me surnomme Neit et je suis né(e) le 01 mai 1990 , à Oxford en Angleterre. Si tu sais compter j'ai donc 25 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que étudiant en 1e année. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis bisexuel et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis Incube. Pour terminer ma principale phobie est les serpents

♪ Pouvoir Elémentaire Métallokinésie
   ♪ Pouvoir Psychique Magnétisme
   ♪ Pouvoirs communs Télékinésie, Linguisme
   ♪ Pouvoir de Race Spéciale Contrôle de la gravité

Je me trouvais dans l'école lors de l'intrigue Attaque de zombies :
   
   Permet d'avoir été vacciné contre les morsures de zombie

   Je me trouvais dans l'école lors de l'intrigue Téléréalité démoniaque :
   
   Permet de prétendre aux quêtes 'rêves démoniaques'
     

Comment parvenir à se décrire lorsqu’on n’a pas de passé, ni de souvenir ? Néanmoins, le caractère de Neithan a conservé un certain nombre de traits antérieurs à son amnésie. Actuellement il se montre un peu craintif vis-à-vis de ses pouvoirs et de sa condition et méfiant envers ce monde qu’il ne connait plus. Cependant, une pointe d’arrogance persiste dans son regard et dans son attitude générale. De même que le poids des années transparaissait parfois contredisant son âge prétendu.

Charmeur, Neithan est conscient de l’effet qu’il produit sur le sexe opposé, mais il ne se limite pas aux courbes féminines, laissant son intérêt se porter également sur ses homologues. Prédateur, il en a le comportement. Déplacement discret, sens aux aguets, il observe tout et repère les faiblesses d’autrui. Le sang et la violence ne lui font pas peur, il a l’impression que ce sont deux vieilles compagnes se tenant à ses côtés. Tout comme les plaisirs de la chair.

Rancunier, Neithan n’a pas du genre à oublier les offenses, bien qu’à ce jour sa liste soit vide de toute vengeance. Impétueux, il réagit parfois sans réfléchir aux défis et aux attaques. Mais lorsqu’il entre dans une phase de chasse, il se montre beaucoup plus réfléchi et patient. Il pense plus souvent à lui qu’aux autres, cependant il se montrera loyal envers les personnes qu’il juge digne de son amitié, ce qui n’est pas une mince affaire. Certes, il peut se montrer sympathique mais il ne s’autorise que peu de liens solides.

Neithan joue de ses émotions pour charmer son entourage, mais quand son visage perd toute expression il vaut mieux ne pas trop le titiller car cette absence ne fait que révéler sa dangerosité et son intention de tuer.
 

Un prédateur… Un prédateur amnésique de surcroit. Neithan n’avait aucun souvenir antérieur à son réveil. Il avait été retrouvé au pied de Stonehenge, inconscient et gravement blessé. Plusieurs mois de coma et un traumatisme qui avait effacé sa mémoire. Les seuls éléments en sa possession étaient des papiers au nom de Neithan Cooper, ainsi qu’un médaillon en argent, un visage féminin gravé avec une inscription derrière :
« Au plaisir, Liam.
Liv, 1756. »
Que de mystères…


Or, durant ses mois d’inconscience, rien ne retint ses pouvoirs et son magnétisme irradiait hors lui. Certes à petite dose mais au fil des jours cela affecta le personnel médical et les patients de l’hôpital où il se trouvait. Ce qui alerta certaines personnes mais pas forcément celles qu’il fallait. La paranoïa des mortels à l’encontre des créatures magiques ne frappaient pas que la France. L’Angleterre avait aussi ses groupes de fanatiques et l’apparition de phénomènes étranges depuis l’admission d’un inconnu suscita la méfiance et l’intérêt. Voilà pourquoi un groupe d’homme se présenta un soir à l’hôpital sous le prétexte d’enquêter sur les troubles saisissant les travailleurs et patients. Leur objectif était de trouver la source du problème et de l’éradiquer.

Quand ils parvinrent à la chambre de Neithan, celui-ci n’était toujours pas réveillé mais son magnétisme était presque palpable pour les personnes sensibles à la magie. Par précaution, ces hommes s’étaient prémunis contre la magie en apportant des brouilleurs de pièce. Le personnel de l’établissement aurait pu y penser mais beaucoup d’humains n’envisageaient  pas forcément à se protéger contre elle quand il n’y avait pas de manifestations évidentes. Une fois la pièce sécurisée, le groupe se tourna vers sa cible, prêt à l’éliminer, même s’il ne connaissait pas la nature exacte du comateux.

Mais en dépit des précautions prises, ce ne fut pas leur jour de chance. Malheureusement pour eux, Neithan se réveilla et réagit instinctivement au danger qui l’entourait. En ripostant et tuant ses agresseurs. Comme s’il terminait la confrontation qui l’avait amené dans ce lit d’hôpital. L’absence d’arme ne le ralentit pas, ni même les brouilleurs dont il négligea les chocs électriques et quand il n’eut plus que des cadavres à ses pieds, il se traina hors de sa chambre, laissant une trace sanglante derrière lui.

Tout de même sonné, Neithan était désorienté dans cet univers inconnu. Et il n’avait qu’une envie, fuir, sortir dehors… Il ne savait pas comment il parvint à l’extérieur, mais il se retrouva dans un parc. L’obscurité ne l’aidait pas néanmoins il parvint à trouver refuge dans un bosquet touffu.

Toute cette agitation attira l’attention de l’antenne anglaise des Chasseurs. Une créature magique aux abois en liberté ne ferait qu’attiser la haine des humains et actuellement, ce n’était pas le genre de publicité que le monde magique pouvait se permettre. Alors une équipe fut dépêchée pour traquer Neithan. Ce dernier leur donna du fil à retordre avant de se faire coincer et neutraliser. Amnésique, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, encore moins cette histoire de pouvoirs. Un brouilleur lui fut imposé avant qu’être envoyé à l’Institut. Là-bas, il trouvera une relative sécurité, ainsi que des personnes pouvant l’aider à reprendre le contrôle sur ses pouvoirs et peut-être à débloquer ses souvenirs.

Neithan n’avait pas envie d’aller en France, mais les Chasseurs parvinrent à le convaincre. Voilà pourquoi il se retrouva devant la porte de l’Institut à Paris, avec une mémoire endommagée, une identité et un pendentif qui ne lui rappelaient rien.

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