Salut à toi, je m'appelle Sarah Daermis mais tout le mondequelques très rares intimes me surnomment Sa' et je suis né(e) le 6 mars 1995, à Viennes. Si tu sais compter j'ai donc 21 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant qu'étudiante de deuxième année. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis bisexuelle et actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis Bakeneko. Pour terminer ma principale phobie est l'eau, sous sa forme liquide

♪ Pouvoir Elémentaire Pyrokinésie
♪ Pouvoir Psychique Guérison
♪ Pouvoirs communs Perception - Vue améliorée
♪ Pouvoir de Race Spéciale Souffle de vie. (jamais manifesté) - Métamorphose en chat

Je me trouvais dans l'école lors de l'intrigue Attaque de zombies :
Permet d'avoir été vacciné contre les morsures de zombie

Je me trouvais dans l'école lors de l'intrigue Téléréalité démoniaque :
Permet de prétendre aux quêtes 'rêves démoniaques'
 

Les Bakeneko sont des créatures susceptibles d'alterner entre leurs formes de félins ou d'humains. Elles disposent d'une affinité particulière avec le feu et sont présentées sous une aura souvent sombre, hautaine et destructice. Les créatures disposent d'un capital de 9 vies qui diminue à chacune de leur mort ou à chaque fois qu'elles transmettent le "souffle de vie". Faire don du souffle de vie est un acte conscient qui ne peut être transmis à une personne dont l'âme a déjà été capturée ou mutilée par un démon. La personne ne doit pas être décédée au-delà de la dernière lune. S'en suit un réveil brutal du mort, lequel se lie par un lien spirituel fort à son protecteur.

Si le Bakeneko meurt, il plonge dans un état léthargique jusqu'à la nouvelle lune, avec laquelle il se réveille subitement, affamé et incapable de reprendre forme humaine jusqu'au levé du soleil.

Un peu d'histoire... La branche la plus ancienne de Bakeneko - et la plus puissante - vient de l'extrême orient, dans le pays du soleil levant. Elle y est décrite par les mortels comme un regroupement d'entités félines qui hantent les foyers jusqu'à en brûler ses occupants par le feu.

Une autre branche est apparue au début des années 1940, lorsque l'Ahnenerbe Forschungs und Lehrgemeinschaft ramena l'une de ces créatures en Allemagne. Le groupe entrepris d'effectuer des croisements avec des prisonniers de guerre dans l'espoir de manipuler leurs pouvoirs. De cet accouplement apparu une nouvelle lignée, européenne, qui n'eut pas grandit assez pour être utile au Reich (leur premier pouvoir -métamorphose exclue - n'apparaissant qu'autour de 7 ans).

Sarah se qualifie avant toute chose comme une personne nocturne. Enfin, est-ce l'explication constante qu'elle apporte quand on lui fait remarquer sa paresse quotidienne. Pour elle, se lever avant la lune levée est synonyme de torture et il n'est pas banal qu'elle assiste au premier cours de la journée sans arriver en retard car le réveil lui fut difficile. Le soir, l'air frais sur son visage comme la luminosité réduite lui confère une aptitude naturelle à l'éveil : Ses sens sont en effervescence, sa volonté toute aussi décuplée. C'est un moment de chasse, un moment où elle est le prédateur.

Son amour de la liberté va de pair avec un sens prononcé pour le désordre. Son manque d'organisation se manifeste par des devoirs réalisés à la dernière minute, un chaos sans nom dans sa chambre et un agenda qu'elle a beaucoup de mal à suivre. Ce perpétuel désir d'évasion rend Sarah réticente à l'engagement et la fidélité. C'est une femme sensible, apte à ressentir des émotions très fortes, mais pour qui prendre des décisions de vie avec quelqu'un reste un calvaire sans nom.

Sans tomber dans la nymphomanie, Sarah peut varier les conquêtes sans réellement s'attacher à elles ; elle est indépendante. Jugée hautaine, souvent trop sûre d'elle même, Sarah s'ouvre très rarement sur le plan psychologique. Elle pose ses barrières pour que l’inaccessible ne récompense que des amitiés forgées au cours de plusieurs années.

Elle n'est pas une meneuse mais plutôt une gardienne du groupe, apte à faire preuve de réflexion et de pragmatisme pour assurer la survie de la structure à laquelle elle appartient. On la retrouvera généralement en second plan dans les descriptions, apte à conseiller et suivre des décisions qu'elle n'aura pas prise elle-même.

Ma grand-mère est née dans le château de Wewelsbourg en Westphalie. Elle n'était pas une princesse, elle n'était pas une duchesse. Sa naissance au cours de l'année 1941 fut fomenté avec soin par un service Nazi, l'Ahnenerbe.

Cet élite fanatique du troisième Reich avait été fondée pour acquérir des secrets mystiques à travers le monde. La plupart de leurs équipes échouèrent, mais une ramena dans l'ouest allemand un petit chat à deux queues, un Nekomata. La créature fut reproduite avec d'autres chats avant d'être disséquée et examinée.

Malgré tous leurs efforts, jamais les allemands ne percèrent tous les mystères du monde mystique et la plupart de félins s'enfuirent lorsque les alliés attaquèrent la forteresse.

Ma grand-mère a vagabondé dans cette région, vécu sous sa forme bestiale principalement. Elle fut recueillie en tant qu'animal de compagnie par une famille rhénane qu'elle décima par le feu lorsqu'elle pris forme humaine la première fois. Plus tard, ce fut au tour de ma mère de voir le jour. Elle fut élevée seule et je ne sais pas bien qui se trouve être mon grand-père.

Ma génitrice partit pour le conservatoire de Vienne où je suis née d'un père mortel, musicien lui aussi m'a-t-elle dit. Je ne l'ai pas connu non plus, probablement une histoire d'un soir qui se concrétisa en tout autre chose 9 mois plus tard. Il y a eu plusieurs hommes que j'ai vu devenir intimes avec maman au cours de ma jeunesse, mais aucun que j'ai jamais appelé papa.

Avec du recul, peut-être était-elle aussi incapable que moi pour se lier. La seule véritable connexion qu'elle aura eu, c'était moi.

Je crois que c'est vers mes huit ans que j'ai pour la première fois eu mes dons qui se sont réveillés. Et j'étais très douée à ça! Très douée à me rendre compte que mes dons s'étaient réveillés parce que dans les faits, c'était plus compliqué ça.

Je marchais dans une forêt en compagnie de maman quand je trouvai un oisillon blessé sur le sol. Il piaillait et je le pris instinctivement entre mes mains. Dans un désir fort de venir en aide à cet être, je ressentis un échange très fort d'informations entre lui et moi.

Au contact de la pulpe de mes doigts, je le ressentis comme partie intégrante du mien. Son corps était dans le prolongement du miens, si bien que je sentais son coeur battre comme si c'était le mien. Je sentais la douleur de son aile comme si c'était la mienne. Je sentais sa peur comme si ce fut la mienne. Je ressentais les flux qui le parcouraient. L'un d'entre eux partait de la cassure de l'aile pour remonter jusqu'au système nerveux central. Je savais qu'il s'agissait de la douleur alors, dans un effort instinctif, je cherchai à dévier ce flux.

Ce fut comme si un dentiste vous détachait une dent à l'aide d'un burin. Le flux sorti de son corps et il se vida subitement de son énergie vitale. Son cœur cessa de battre, il ne respirait pas. Ses plumes tombèrent, desséchées. Je l'avais tué.

Dans le jour qui suivit, maman m'accompagna dans l'institut. Elle-même ne l'avait connue que bien après que ses pouvoirs ne se manifestent (ma grand-mère n'ayant jamais eu connaissance). Elle même l'avait découverte des lèvres d'un autre Bakeneko qu'elle avait rencontré sur un toit un soir de sa dix-huitième année. A son arrivée, elle avait été brillante, principalement parce que la vie l'avait forcée à maîtriser ses dons avant qu'elle ne vienne.

Ce ne serai pas mon cas.

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