Judicaël Ignis
Informations
Salut à toi, je m'appelle Judicaël Ignis mais tout le monde me surnomme Judy et je suis né(e) le douze Octobre 1462, à Rome en Italie. Si tu sais compter j'ai donc 553ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que étudiant en première année. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis homosexuel et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis un phoenix. Pour terminer ma principale phobie est l'ennui.
Pouvoirs
♪ Pouvoir Elémentaire : Pyrokinésie (Flamme éternelle du phœnix)
♪ Pouvoir Psychique : Médium
♪ Pouvoirs communs : Empathie, Manipulation des ombres, Linguisme
♪ Pouvoir de Race Spéciale : Projection astrale
Questions indispensables
Caractère
Déjà que dresser un portrait psychologique c'est pas ce qu'il y a de plus facile si en plus c'est le mien bonjour le travail introspectif ! Je vais quand même tâcher de faire de mon mieux ne vous en faite pas. Tout d'abord il faut que vous sachiez je suis un jeune homme plein de vie, je ne tiens jamais en place ! Je suis sans cesse en train de bouger, chanter, sautiller, danser... bref je vis à deux-cent à l'heure.
Je déteste m'ennuyer, il n'y a rien qui ne me déprime plus. Je passe donc beaucoup de temps à voir mes amis ou bricoler. On oublie trop souvent que le feu peut abandonner son poste de destructeur pour devenir créateur ! J'aime beaucoup faire de la « récup' » et bidouiller des objets pour leur donner une nouvelle utilité ! Il n'est pas rare que je veille très tard pour fabriquer quelque chose ou écrire un texte en compagnie de mon ami le plus fidèle j'ai nommé : le sucre ! Remarquez j'en ai pas vraiment besoin je suis insomniaque... comme je le dis souvent : « Je me reposerais quand je serais mort ! » ce qui peut tarder un peu pour un phœnix il est vrai. Je vous entends venir « Un phœnix hyperactif et insomniaque ça fait pas quelqu'un de très stable ! » ...Eh bien vous avez parfaitement raison.
Niveau émotions je suis dans les extrêmes (Et on ne peut pas dire que mon don d’empathie soit là pour m'aider.) ; bien que la plupart du temps je sois volubile et pris de gaieté loufoque il m'arrive aussi de déprimer sévère au point de devenir une belle loque. Cependant n'ayez crainte un bon vieux Disney© et des marshmallows et me revoilà le sourire aux lèvres !
Vis-à vis des autres je suis assez sympathique et très peu timide mais je me désintéresse assez vite des gens un peu trop simples à mon goût. Je ne cherche jamais à faire du mal, seulement à taquiner un peu. C'est un de mes principaux défauts qui m'a d'ailleurs déjà joué quelque tours de l'ordre d'un poing dans le ventre. Si toutefois vous arrivez à satisfaire ma curiosité et que je ne me lasse jamais de vous alors soyez certains que je serais un ami fidèle sûr qui compter du moment que vous ne décidiez pas de faire quelque chose à quoi je suis strictement opposé.
Je pense que je vous ai fait un résumé assez fidèle de qui je suis mais c'est bien connu il faut du temps pour connaître réellement une personne.
Biographie
Il m'est assez compliqué de vous conter mon histoire. En général on commence par un bon vieux « Je suis né le... » mais comment faire lorsque le moment où vous êtes né et le moment ou vous avez commencé à exister n'est pas le même ? Peut-être que je vous laisse un peu dans l'ombre pour le moment mais ne vous en faite pas je vais tâcher d'éclairer votre lanterne les amis.
Je suis donc né le douze Octobre de l'année 1462 dans la belle ville de Rome en Italie qui connaissait alors un fabuleux développement artistique et scientifique qui a plus tard été nommé Rinascimento, Ce pays représentait un foyer chatoyant où mon peuple, traqué par les démons, se réfugiait à cette époque. Peut-être que cette date ne vous dit rien mais je suis persuadé que les phœnix restants et les étudiants en créatures magiques voient déjà où est le problème : Ma naissance a malheureusement coïncidé avec le terrible sort qui a frappé toute les femmes de ma race. La source de cette catastrophe demeure encore inconnue, sûrement qu'un puissant démon a voulu nous anéantir. En quelques secondes à peine les flammes de vie de toute les femmes phœnix se sont éteintes pour ne jamais se rallumer, comme soufflée par un vent maudit. Le phénomène a touché ma mère tandis qu'elle s’efforçait de me donner naissance ; d'après les dires de mon père elle pâlit soudainement, se figeant, puis s'embrasa en me consumant de même ne laissant rapidement qu'un tas de braises fumantes sur sa couche. Habituellement ma mère aurait renaît dans les instants qui suivirent mais le sort avait offert un cadeau empoisonnée à ma mère Cléo: la mortalité. Mon pauvre père venait de perdre sa femme et son premier enfant. Il récolta les cendres de sa bien-aimée dans une urne comme beaucoup d'autres hommes ont pu le faire avec les restes de leurs femmes, de leurs filles, de leurs sœurs tout en récupérant mes braises encore chaude. Il s'agissait là du peu de vie que ma mère morte en couche avait réussi à m'insuffler.
Le peuple phœnix terriblement affaiblit mais toujours aussi influent en Italie fit le choix difficile de s'exiler vers les montagnes Chinoises afin de se protéger. Mais ils durent rapidement migrer vers le Tibet et L’Himalaya afin de garantir de façon plus sûre la pérennité de l'espèce. C'est là bas que mon père vécu pendant des années, seul, à contempler l'urne qui renfermait pour lui un semblant de famille sous la protection des dragons bleus.
Je sais vous vous demandez : «Quand est-ce qu'on entend enfin parler de toi ? ». Justement j'y viens !
Nous voici donc en 1990,précisément 528ans après la vague destructrice qui a touché notre race, le jour ou j'ai finalement renaît de mes cendres. En effet il n'étais pas rare dans le passé que les femmes meurent en couchent; lorsque l'incident se produisait, la mère s'embrasait en consumant dans le même temps l'enfant auquel elle tentait de donner naissance. La mère renaissait alors mais l'enfant restait à l'état de ce que les sage-femme on nommé "braise éternelle": une sorte d'état végétatif dans lequel le nourrisson stagne entre le vie et la mort en attendant une fin de gestation qui n'arrivait jamais. Les plus anciennes et les plus sages finirent par trouver une parade à l'incident, un remède. Afin de simuler la fin de la gestation et le début de l'accouchement les sages-femmes se réunissait à quatre avec la mère afin de chauffer à une température volcanique les braises du nourrisson. L'opération était impossible à réaliser seule car bien trop dangereuse! Seule la flamme de vie des phoenix elle même pouvait dégager assez de puissance pour provoquer la naissance; même le plasma demeurais insuffisant pour ce prodige. Toutefois le rituel demeurait connu des femmes uniquement qui était à l'époque seules à posséder le savoir lié à la grossesse et à la pédiatrie.
Bien, vous vous doutez bien que si je suis là pour vous raconter tout ca c'est bien que mon padre a fini par trouver le code de triche pour atteindre la fin du niveau que représentait ma naissance!
La solitude rongea mon père durant des siècles, alors qu'il touchait le fond du gouffre il décida pourtant de tout tenter pour finalement me donner la vie lui-même. Il chercha durant des années une solution parmi les traités de médecine phoenix mais rien ne semblait permettre le miracle qu'il désirait. Rien que les hommes avaient emmené au Pérou... il entrepris donc un voyage vers nos origines : l'Egypte. Si il devait y avoir quelque part la trace d'une magie assez puissante pour réanimer un membre de la race immortelle c'était bien dans les ruines pharaoniques. Il parti plusieurs décennie mes braises sur le dos bien au chaud dans l'urne, écumant la vallée du Nil jusqu'à remonter une piste, celle d'une sage femme qu'il a connu dans son enfance, celle qui l'a elle même extirpé du ventre maternelle. A force de recherches et de salles secrètes pénétrées il trouva finalement ce qui semblait être une salle d'accouchement. La pièce était circulaire, cinq sillons se dirigeait vers une âtre au centre de la pièce. Les hiéroglyphes présentait de façon assez explicite la nature de l'installation : un incubateur phoenix! Mon père se saisi de l'urne qu'il vida au centre de la pièce puis commença à déverser des torrents de flammes dans les sillons. Rien n'y fit. Sa puissance seul ne suffisait pas et il devait opérer à plusieurs comme illustré sur les murs. Il récupéra l'amas flamboyant et quitta l'Egypte non pas désespéré mais seulement impatient, trop heureux d'avoir enfin trouvé le remède à sa solitude étouffante. De retour sur les sommets de l'Himalaya il répéta l'opération avec d'autres hommes qui eux demeuraient fortement sceptique. Tous lancèrent des flammes mais seul mon père y mettait toute sa conviction. Il commença à flancher et c'est seulement à cet instant que les autres usèrent de leur flamme de vie pour soutenir un autre survivant en danger. Les braises rougeoyèrent alors intensément et dans un crépitement sonore j'apparus, laissant face aux regard abruti de fatigue de mon père un nouveau-né pleurant au milieu des pierres noircies. L'opération avait réussi, la race comptait un nouvel individu, mon père chérissait enfin un fils et non des braises.
Par chance cet heureux événement rendit à mon père le goût de la vie et il prit soin de mon éducation et de ma formation à la pyrokinésie. Peut-être un peu trop même...les années passaient et notre nombre réduisait petit à petit, il commença donc à me surprotéger, me surveiller, me mettre en garde contre le monde extérieur...nos protecteurs dragons eux non plus ne m'aidait pas à prendre mon indépendance. Plus je mûrissait plus l'ennui provoqué par la routine enveloppé de la blancheur immaculé des sommets me déprimait. Je maudissait le démon qui nous avait condamné moi et ma race à cet exile dans lequel je commençais à dépérir et je maudissais de même mon don d'empathie qui me faisait ressentir toute la détresse de mon peuple. Quelques années après que ma flamme se soit éveillée je me suis senti sur le point de céder à l'envie de me jeter d'une falaise et j'entrepris donc d'examiner les choix qui se proposait à moi : rester pour le bien de ma race au risque de tomber fou ou fuir et assouvir ma soif d'aventure et de nouvelles expériences. Je fis mes bagages le soir même, le jour de mes 20 années vécues.
Je savais qu'il serait inutile de tenter de convaincre mon père, jamais il ne laisserai partir son fils miraculé même au prit de sa santé mentale. Je m'en voulais un peu de le laisser seul une seconde fois mais comme tout adolescent en fuite j'ai fourré dans un sac de quoi survivre quelques jours avant de sauter de la fenêtre sans prendre la peine de laisser quelque message que ce soit derrière moi. Je dû apprendre à vivre par moi même, je fis du stop, des petits boulots progressant peu à peu vers l'Europe en me rendant compte que je ne connaissait rien du monde extérieur et de son fonctionnement. Au fil des rencontres plus ou moins mauvaises et de différents petits amis je fini par m'éveiller à la vie sociale et au plaisirs que pouvait offrir notre belle planète de façon légale ou non (ben quoi ne me dite pas que vous n'avez jamais accepté les jolis pilules que vous on proposé des mecs louche au coin d'un bar!), à la chasse au sorcière aussi... peu après le 21 décembre 2012 alors que mes pas m'avaient finalement guidé jusqu'en Ukraine les humains étaient en véritable ébullition, la destruction de l'Amérique suivie de la découverte des faës ont provoqué un élan anti-anormaux qui ne tarda pas à me cibler moi et d'autres jeunes créatures magiques dont les pouvoirs encore bien capricieux ne tardèrent pas à nous trahir. Pour ma part j'ai fait brûler un pauvre cabot qui m'avait surpris en aboyant alors que je traversais la route. Pauvre bête. Ma fuite commença alors, me cachant dans la foret ou dans des poubelles parfois dans l'unique but de survivre. J'oscillais ainsi entre périodes de calme et de chasse qui me forçaient à me déplacer constament. Par chance arrivé en France mes pas croisèrent ceux de deux jeunes femmes qui se présentèrent comme chasseuses un jour ou particulièrement exténué je ne pouvais plus fuir mes assaillants, me préparant à une lente agonie. Je me souviens qu'elles dégageaient toute deux une grand tendresse mêlé de confiance en elles qui me changeait du stress et de la haine qui polluaient mon esprit depuis des mois. Elles me remirent sur pied et me payèrent un vol pour Paris où elle me dirent de me rendre à l’Institut Chevalier. Je ne savais pas ce qu'était cet institut mais ça ne pouvait pas être pire que les barges qui me traquaient en Europe de l'Ouest ! Je décollai pour Paris avec excitation, dans la hâte de découvrir la ville lumière et cette mystérieuse école.
Voilà comment j'en suis arrivé à être un nouvel élève de première année au sein de l'institut, un phœnix de 553 ans qui n'en a vécu que 25 et qui a encore beaucoup à apprendre...et à découvrir !
De l'autre coté de l'écran
♪ Pseudo/prénom : Quentin
♪ âge : 18ans
♪ Présence : 4/7
♪ tu nous as trouvés comment ? Sur un top-site
♪ Une dose d'amour ? J'adore le contexte. <3
♪ Groupe Choisi : Etudiant
♪ Avatar : Brendon Urie
©louha