Lolita Bayne
Informations
Salut à toi, je m'appelle Lolita Bayne mais tout le monde me surnomme LOL et je suis né(e) le 14 Février 1994 , à Montpellier (Hopital La colombière ). Si tu sais compter j'ai donc 22 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que étudiante de deuxième année. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis hétérosexuelle et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis Nymphe. Pour terminer ma principale phobie est la solitude
Pouvoirs
♪ Pouvoir Elémentaire hydrokinésie
♪ Pouvoir Psychique Télépathie.
♪ Pouvoirs communs jusqu'à trois
♪ Pouvoir de Race Spéciale Fertilité de l'homme et de la nature
Boucliers protecteurs
Elles sont très souvent liées aux muses pour leur pouvoir d'inspiration, mais elles sont aussi capables de violence absolue, dévorant l'énergie vitale de ceux qui les trahissent.
Questions indispensables
Caractère
Mes yeux se lèvent vers le plafond d'un blanc immaculé. Aucune trace, aucun trou, aucune ombre. Je suis illuminée de toute part par les néons intenses qui me crament la peau. Dans ma tenue de jour blanche, assise sur le lit, j'observe la personne qui me regarde derrière la petite fenêtre de la porte. Elle est folle. Un sourire se forme sur mes lèvres, je me retiens de rire. " Mh mh... ah ah ah ! " Ma voix fluette et enfantine résonne dans la pièce tandis que mon regard plane dans l'espace. Je me sens lasse tout à coup, je ne sais plus très bien ce que je fais là, ni ce que lui, il fait là. Ce n'est qu'un vulgaire humain, je pourrais l'écraser comme une punaise sous la semelle de ma botte. Mon regard se pose de nouveau sur lui, électrisant. Ses poils s'hérissent sur ses avant bras et sur sa nuque. Il me craint je le sens. Mais je sens aussi qu'il me trouve fascinante. " Je vais entrer. " Sa voix résonne derrière le métal qui me sépare de lui. Je me sens alors craintive, comme à chaque fois, je suis piégée comme un lapin dans une cage. Me recroquevillant sur la couchette, la porte s'ouvre, et l'homme s'avance. Mon regard se pose sur la porte encore ouverte. Fuis... Mais alors que j'ouvre la bouche, la porte se referme, m'enlevant mon désir de liberté encore une fois. Sont-elles toutes comme ça ? pense-t-il. Ma curiosité infantile se met de nouveau en marche. Que veut-il dire ? Je ne suis pas comme les autres. Je n'en connais pas une seule ici qui me ressemble. Je veux être unique. Il s'assoit devant moi, comme s'il tentait de me comprendre. " Si tu réponds à mes questions, je te donnerais des bonbons. " Mon âme d'enfant se réveille. J'aime les friandise, je sors le bout de ma langue avec un sourire, mes dents se referment avec délicatesse sur mon membre buccal avec délicatesse. " On m'a dit que tu avais été extrêmement violente avec certains gardes? " Mon rire résonne de nouveau. J'adore rire, ce rire qui veut dire, oui et alors ? " Tu peux me dire pourquoi ? " Il sort une sucette ronde, rouge bonbon de la poche intérieure de sa veste. Je la regarde avec attention, soudain, il devient beaucoup plus intéressant. " Ils ne voulaient pas me laisser partir d'ici. " Il soupire. " Tu ne peux pas sortir d'ici, on en a déjà parlé. Nous avons un garde à la morgue, et deux en soins intensifs. Comment as-tu fait ? " Je n'ai pas envie de répondre. J'aime rester secrète, ne pas parler de moi. " J'aime les bonnes choses tu sais ? " Dis-je un sourire aux lèvres. Je me détend, écarte doucement les cuisses. " Toi aussi ? " Observatrice, je sens les veines de son cou apparaitre lentement, sa mâchoire se serrer à plusieurs reprises tandis qu'il observe mes cuisses avec gourmandise. Je ris de nouveau. Il se racle la gorge, gêné. Je m'amuse de la situation. Il pose la paume de ses mains sur l'extérieur de mes genoux, et referme mes jambes avec lenteur. Je fais la moue, détestant que l'on me résiste. Je laisse échapper un long râle d'ennui. " Je suis têtue tu sais ? " Mal à l'aise il se redresse. " Tu n'as pas à me faire subir ce genre de choses Lolita. " Mécontent, il n'ose plus même me regarder. Je fais la moue de nouveau. " Et moi je déteste que l'on me donne des ordres... "
Biographie
Ma naissance demeura un immense mystère. Maintenant que j'y pense, je ne me souviens de rien à ce sujet. J'ai toujours vécu ici, entre les murs de l'hôpital La colombière. On m'eu raconté que lorsque j'étais encore toute jeune, ma mère fut internée dans la chambre où je suis aujourd'hui, moi, j'avais été placée dans le pôle puériculture.Je ne l'ai jamais rencontrée, parait-il qu'il était ingérable, aussi folle que moi, plus dangereuse également. Parait-il qu'elle est morte quelques années plus tard, après être sortie de la. On la retrouvée assassinée près d'une fontaine près d'une ligne de tramway, à moins de cinq kilomètres de l'hôpital. Je ne saurais jamais si elle était venue me chercher. Je ne saurais jamais si elle m'aimait, si elle se serait battue pour moi, mais étrangement, je m'en fou. Le fait est que j'ai continué à vivre ma vie. Bien que peu à peu, certaines facultés virent le jour, et plus je grandissais, plus mes facultés se faisaient intenses, semblaient faire parti de moi comme si elles avaient été en sommeil depuis de longues années. Les pensées des autres ne me faisaient plus défaut, je connaissais le fin fond de leur esprit, savais où était le mensonge, où était la vérité. Je connaissais les sentiments qu'ils avaient à l'égard des autres, et leurs secrets les plus intimes...
Mon monde continuait de tourner, tandis qu'à l'adolescence, le monde d'autres personnes semblaient graviter autour de moi. Une vague d'inspiration débordante vit le jour à nos ateliers artistiques, et alors que mon corps de femme prenait forme, je devins la muse de certains hommes. Comme si tout à coup, ils se rendaient compte de mon éventuelle beauté. La désignant comme envoûtante et dévastatrice. Cela aurait été agréable pour les autres s'il n'y avait que cela qui avait changé chez moi. Mais peu à peu, lors des visites d'un psychiatre, je me retrouvais à être embrouillée, sentant l'obscurité m'envahir, me pervertir. C'était lui, la raison de ma folie. Et plus je le voyais, plus le mal envahissait mon coeur, me rendant violente, agressive, lorsqu'il arrivait que l'on me résiste. Tant et si bien que je finissais souvent en isolement, après avoir agressé des infirmiers, des médecins ou des patients. Me prenais une douche froide lorsque j'écartais les cuisses devant le personnel, en échange de quoi, ils m'aideraient à m'échapper de là.
" Comment te sens-tu ? " Demandait le psychiatre, ses yeux sombres posés sur moi. " Connaissez-vous les ténèbres ? " Répondais-je. Suivi d'un rire tout aussi fou que ma personne. Elle est prête. Il était impassible, mais ses pensées n'avaient pas de secret pour moi. J'ai souri, et il s'avança vers moi. " Tu as compris ? " Compris non, pas totalement en tout cas. Je savais juste que j'avais été conditionnée, conditionnée à ressentir ce vide, ce besoin de folie, l'amour des ténèbres en ayant grandi avec. L'isolation, j'avais compris être prête. Prête pour quoi ? " Je vais revenir. " J'accrochais sa cravate de mes doigts frêles " Ne me laisse pas toute seule ! J'ai peur du noir ! Le silence m'oppresse... " Il se dégage, me tend une sucette rouge bonbon que je saisi avec fascination " N'aie pas peur de la noirceur. Je vais revenir. "
Mais il n'eut pas le temps. Le soir même, des gens entrèrent dans ma chambre, sans bruit. Je ne les avais jamais vus, mais le fait était qu'ils m'offraient la liberté. Le docteur ne finirait pas son travail, il ne reviendra jamais me chercher. Il ne sait pas où je vais. Mais je m'en fiche. Je serais libre. Alors je me laisse emmener. Je reconnais Paris, la Tour Eiffel que j'ai déjà vu sur l'écran de la télévision de la salle commune. Je souris, je suis partie. On m'annonce que je me trouve dans une école, un institut pour les gens aux facultés spéciales. Je ne peux m'empêcher de me dire que je suis inhumaine. Et effectivement, je ne le suis pas. Pas totalement du moins. Je suis une nymphe, alors j'apprend, mais tout ressort. Je suis douée de mes pouvoirs, mais ma folie bloque le reste, ne pouvant faire marche arrière. C'est comme si je ne pouvais que stagner dans mon état ou sombrer un peu plus. J'apprend que les Nymphes sont peu nombreuses, rares même. Alors ils me préservent, car elles sont toutes perverties par le démon. Alors je suis peut-être la seule à être encore en état. Alors je reste là.
De l'autre coté de l'écran
♪ pseudo Myu
♪ âge 23
♪ Présence 7/7
♪ tu nous as trouvés comment ? Part Louha
♪ Une dose d'amour ? ♪ Groupe Choisi étudiant
♪ Avatar Margot Robbie
louha